À PROPOS DE NOUS

 

 Principes directeurs


MétéArt provient de l’amalgame des mots « météorite » et « art » et  découle de ma profession et de mes intérêts.  Passionné et mû par des convictions profondes, j’ai un jour émis l’idée de posséder et de porter des pièces extraterrestres véritables.  Cette idée  n’est pas étrangère à mon parcours marqué par une carrière dans l’aviation canadienne en tant qu’ingénieur aérospatial, culminant au rôle d’ingénieur-chef responsable des flottes des CF-18 et des Snowbirds, le célèbre groupe acrobatique, ainsi que des aéronefs sans pilote.   Ces accomplissements liés au soutien des opérations m’ont ensuite permis de servir 12 ans à l’Agence spatiale canadienne en tant que directeur du programme des astronautes, puis en tant qu’ingénieur principal du programme de l’exploration planétaire et de l’astronomie.  Cette combinaison d’expériences uniques a instauré en moi une éthique professionnelle empreinte de rigueur et d’exactitude technique, sans compromis pour la qualité. Cette expérience est l’incarnation même de MétéArt : la preuve scientifique et l’authenticité lesquelles se marient avec le savoir-faire artistique et l’engagement absolu envers la qualité.


 

 

 

Les débuts de MétéArt


MétéArt est née de mon profond désir de dénicher le cadeau le plus spectaculaire et original qui soit pour le mariage indien de ma fille organisé par la famille du marié. Il m’était alors important d’exprimer toute ma gratitude envers une semaine extraordinaire qui allait être parsemée de célébrations mémorables. C’est avec cette intention en tête que, plusieurs mois avant le mariage, il m’a été donné de découvrir de splendides fragments de fer et de nickel provenant de météorites qui m’ont immédiatement fasciné.  Je les ai achetés et, à la suite d’intenses recherches, je les ai fait transformer en deux pairs d’impressionnants boutons de manchette extra-terrestres que j’ai offerts au marié et à son père.  Je leur ai expliqué qu’ils étaient descendus des cieux depuis longtemps et étaient âgés de 4.6 milliards d’années. Ils avaient donc été créés au moment de la naissance de notre système solaire et constituaient la matière la plus âgée qu’ils ne pourront jamais toucher.  Ayant survécu à l’enfer de l’entrée dans l’atmosphère terrestre, ils symbolisent la résilience et la force éternelles et, provenant des cieux, ils sont considérés comme des objets sacrés par nos ancêtres.  Ces particularités s’appliquent à tout mariage durable et représentent les traits de la famille avec laquelle nous nous unissons.

James Philip Doherty, président de Météart

James Philip Doherty, président de Météart

Engagement de qualité


Les météorites de MétéArt sont polis, soudés et gravés par des artisans de Montréal et Toronto.  Ce bouton de manchette ma-007 a été poli par un expert du magasin-phare de Birks.   Chaque météorite de MétéArt arbore un numéro de série (ou un message personnel) gravé au laser qui le relie au rapport d’authenticité ICP-MS.

Un emballage qui défie la gravité


Un autre aspect inusité de MétéArt est l’extraordinaire boîte qui défie la gravité.  Les boutons de manchette MétéArt ne sont pas insérés dans un pli ou une fente, ou tenus pas un élastique; ils sont plutôt retenus de l’intérieur par une force invisible qui vous surprendra.

Preuve scientifique de l’authenticité


Les gens demandent parfois : « comment savoir qu’ils sont vrais? » Comme pour la certification GIA (Gemological Institute of America) des diamants, MétéArt fournit la preuve scientifique d’authenticité au moyen de tests sur des échantillons dans des laboratoires indépendants ICP-MS (Inductively Coupled Plasma - Mass Spectroscopy).  Les tests consistent à vaporiser un échantillon provenant d’un météorite, à l’ioniser par induction  au moyen d’une flamme de plasma et à l’analyser par spectrométrie afin de déterminer les éléments qui le composent et leur concentration.  Une courbe représentant les différents éléments est générée et portée sur un graphique.  C’est ainsi que les scientifiques peuvent comparer les résultats obtenus avec les signatures connues des concentrations en Cr, Co, Ni, Cu, Ga, Ge, As, W, Re, Ir, Pt, et Au et ainsi déterminer celles de l’échantillon. Une telle comparaison est illustrée ci-dessous.  Si les concentrations des 12 éléments dans l’échantillon s’apparentent à celles des valeurs publiées, à l’intérieur d’une marge d’erreur admissible, l’échantillon est considéré authentique.  C’est la meilleure méthode qui soit.